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Institut National de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques

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En juillet 2024, le niveau général des prix est en hausse de 1,7% par rapport au mois de juin 2024

Au cours du 4ème Trimestre 2023, l’activité de production industrielle a augmenté de 13,2% par rapport au 3ème Trimestre 2023

En 2017, l’activité économique baisse de 1,9%

Le Fonds National de Développement de la Statistique est l’un des organes du Système Statistique National tchadien, pour mieux connaitre ses missions, stratégies et projets, la Cellule de Communication, des Relations Publiques et du Markéting de la Direction Générale de l’INSEED est allé à la rencontre de son DG.

Monsieur Abdoulaye BARH BACHAR, vous êtes Statisticien, ancien cadre de l’Institut National de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques (INSEED) ancien économiste au Département Afrique du FMI et ancien Secrétaire Général du Ministère des Finances et du Budget. Actuellement, vous êtes le tout premier Directeur Général du Fonds National de Développement de la Statistique (FNDS), suite à l’aboutissement de la réforme de l’appareil statistique national qui a commencé depuis 2014. La première phase de mise en œuvre de la réforme est intervenue au lendemain de la promulgation en juin 2019 de la loi N° 026/PR/2019 portant organisation et réglementation des activités statistiques au Tchad et ses Décrets d’application. Notons toutefois que la première réforme de l’appareil statistique national du Tchad n’a pas donné des résultats escomptés à cause entre autres de l’insuffisance du financement, c’est-à-dire de la faible mobilisation des ressources intérieures.

QUESTION1 : Est-ce que vous pouvez nous présenter le FNDS, votre institution, Comment est-elle organisée et Quelles sont ses missions ?

Réponse : Merci de nous avoir donné l’opportunité de nous exprimer pour la première fois depuis notre nomination à la tête de cette institution. Je tiens à remercier les plus hautes autorités du Tchad pour la confiance placée à notre modeste personne au terme de l’aboutissement du processus de recrutement.  C’est aussi une occasion pour nous d’expliquer les efforts menés jusqu’ici dans le financement de la réforme du système statistique national.

Pour revenir à votre question, le Fonds National de Développement de la Statistique (FNDS) est un établissement public, crée par le décret pris en Conseil des Ministres à la suite de la réforme du Système Statistique National. Le FNDS doté de la personnalité juridique et de l’autonomie de gestion est administré par un Conseil d’Administration ; Dirigé par un Directeur Général Assisté d’un Adjoint, recrutés suite à un appel à candidature, le FNDS comprend :

  • Une Direction Générale ;
  • Une Direction des Études et de Programmation ;
  • Une Direction des Affaires Administratives et Financière ;
  • Une Direction de la Coopération Internationale et de la Communication ;
  • Une Agence Comptable ;
  • Et un Audit Interne.

Au titre de ses missions, il est destiné à recevoir les versements effectués au titre des ressources financières du Système Statistique National et dont les missions principales consistent à :

-Améliorer la production et la qualité des données statistiques en finançant de manière générale les activités du Système Statistique National et particulièrement les activités de l’INSEED et des structures sectorielles de Statistiques ;

-Sécuriser le financement des programmes pluriannuels d’activités statistique de la Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS) ;

-Réduire la dépendance du Système Statistique National vis-à-vis des financements extérieurs ;

-Recueillir, gérer et redistribuer les ressources financières destinées à la production des données statistique.

Pour le financement extérieur, le FNDS travaille pour la mise en place d’un système de coordination qui pourrait canaliser les préférences individuelles de financement des PTFs vers l’objectif global qui est l’amélioration de la production des statistiques tant en terme de qualité, de couverture et des délais.

QUESTION2 : En tant qu’ancien Secrétaire Général du Ministère en charge de finance et actuel DG du Fonds National de Développement de la Statistique, comment percevez-vous le défi de la mobilisation des ressources pour le financement de la statistique au Tchad ? Et quelles sont vos stratégies pour réussir votre mission ?

Réponse : La Stratégie Nationale de développement de la Statistique 1(SNDS1 2011-2015) a donné des résultats mitigés en partie à cause de la faiblesse du financement intérieur et les difficultés liées à sa mobilisation.

Le Gouvernement a déjà, dans le cadre de la loi des finances 2021, rehaussé la quote-part pour le financement du système statistique national à 15 % de la redevance statistique à l’importation et l’exportation alors que cette quote-part était de 8 % de la redevance statistique sur les importations. De même, le Gouvernement a mis en place un mécanisme qui définit les modalités de répartition et de recouvrement des produits affectés de la redevance statistique sur les importations et sur les exportations.

Notre stratégie consistera donc à sécuriser ces financements et le rehausser encore en cas de besoin.  

QUESTION3 : sur la base des projections, vous connaissez déjà les besoins de financement de la statistique pour les années à venir, quelles sont vos perspectives pour la mobilisation des ressources nécessaires pour satisfaire ces besoins ?

Réponse : la Stratégie Nationale de développement de la Statistique 2(SNDS2 2022-2026) adopté par le Conseil National de la Statistique lors de sa Session de juillet 2021 est évaluée à 88,4 milliards de FCFA contre 32,9 milliards pour la SNDS1. Sur ce montant, plus de 46 % est destiné au financement du 3ième Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH3). A ce jour, la part du financement acquis est de 25 % donc il reste 75 % du financement, soit plus de 66 milliards de FCFA à rechercher pour boucler le gap sur les 4 prochaines années.  L’Etat tchadien s’est déjà engagé à financer la SNDS2 à hauteur de 51 % sur la période 2022 à 2026. En ce qui concerne les partenaires techniques et financiers, nous allons organiser une table ronde pour le financement du SNDS2 y compris la RGPH3 pour mobiliser la différence. 

QUESTION4 : L’Etat ne sera pas seul à financer la statistique au Tchad, car certains partenaires traditionnels appuient le Tchad dans ce domaine. Mais en ce qui concerne la contribution de l’Etat, quelles stratégies concrètes pensez-vous mettre en œuvre pour la mobilisation de la quote-part de la redevance statistique affectée par la loi des finances 2021 ?

Déjà, avant de décliner notre stratégie pour la mobilisation des ressources intérieures permettez-moi de remercier, au nom du Gouvernement, les partenaires techniques et financiers, parmi lesquels la Banque mondiale, l’Union européenne, la Banque Africaine de Développement, l’Agence Française de Développement, le PNUD qui appuient notre pays dans la mobilisation du financement en général et en particulier le financement du système statistique national. Ces remerciements vont aussi à l’endroit du Fonds monétaire International (FMI) qui appuie notre pays à travers l’Assistance technique, l’élaboration des statistiques des finances publiques, les statistiques monétaires et des balances des paiements. Donc nous comptons, pour le financement du SNDS2, mutualiser les efforts tout en respectant les préférences individuelles de chaque partenaire.

Pour la mobilisation concrète, notre stratégie consiste à lier le financement aux résultats. Il s’agit de définir et fixer des indicateurs de performances aux structures institutionnelles du SSN d’une part, et de suivre la mise en œuvre des activités convenues dans l’allocations des ressources. Ensuite présenter les résultats atteints pour mobiliser d’autres financements.    

QUESTION5 : Quel sera votre dernier mot ?

En guise de conclusion, je voudrai insister sur le fait que les statistiques sont à la base du Développement car l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques ne peuvent se faire efficacement sans des données statistiques fiables et à jour. A ce titre la réforme du système statistique national est très importante et exige beaucoup d’efforts en ressources humaine et financière.  Des études ont prouvé qu’en matière de réforme, la mise en place du cadre formel représente 10 %. Il est évident de dire que  les pratiques, les tabous et autres réalités sociologiques représentent le 90 % donc nous devons tout faire pour que cette réforme aboutisse.

De même, la communication doit jouer un rôle très important pour faire comprendre la réforme et requérir son acceptation par les parties prenantes.

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Monsieur le Représentant de la Banque Mondiale,

Messieurs les Experts de l’Observatoire statistique et économique d’Afrique subsaharienne (AFRISTAT) ;

Mesdames et Messieurs les Directeurs Généraux

Messieurs les Directeurs Techniques, Chefs de Divisions et Chefs de services de l’Institut National de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques du Tchad, INSEED ;

Honorables invités, Chers participants

En ma qualité de Directrice Générale Adjointe de l’Institut National de la Statistique, des Etudes Economique et Démographiques (INSEED), Représentant le Directeur Général, l’honneur m’échoit, de vous remercier pour votre présence effective et vous souhaiter chaleureusement la bienvenue à l’atelier de publication officielle de l’indice du coût de la construction (ICC) mis en place par l’Institut pour les besoins du suivi de la conjoncture dans le secteur de bâtiment.

Votre présence remarquée à cet atelier, témoigne de l’intérêt que vous accordez particulièrement à la production statistique au Tchad.

Mesdames et Messieurs,

Permettez-moi de relever l’importance du sujet que nous abordons dans le cadre des présentes assises, qui concerne la publication officielle de cet important outil d’appréciation de la Conjoncture dans le secteur des Bâtiments et Travaux Publics (BTP) en général, celui du bâtiment en particulier, qu’est l’ICC et de jeter un regard rétrospectif dans le processus entamé par l’INSEED depuis quelques années, dans le cadre du développement de la production statistique au Tchad.

En effet, il convient de notifier qu’après la signature des accords entre la Banque Mondiale et le Gouvernement Tchadien pour le développement de l’appareil statistique dans le pays, l’INSEED s’est engagé à mettre en place un certain nombre d’indicateurs conjoncturels, notamment l’indice du coût de la construction (ICC). Cet engagement soutenu par les plus hautes Autorités du pays a permis d’atteindre des résultats escomptés dont cet atelier de publication qui boucle le processus de mise en place de l’ICC.

Mesdames et Messieurs,

S’inscrivant dans la perspective d’un meilleur suivi de la conjoncture économique au Tchad, plusieurs chantiers ont été lancés au niveau de l’INSEED. Il s’agit notamment des travaux liés à la mise en place de l’indice du chiffre d’affaires (ICA) dans les secteurs de l’industrie, la construction, le commerce et les services, de l’indice des prix de production de l’industrie (IPPI) et de la rénovation de l’indice de la production industrielle (IPI). Ces travaux qui se réalisent avec l’appui technique de l’Observatoire statistique et économique d’Afrique subsaharienne (AFRISTAT) à travers le soutien financier de la Banque Mondiale, requièrent la collaboration effective des entreprises et structures pourvoyeuses de données statistiques.

En effet, comme vous le savez, l’indice de coût de construction est un indicateur conjoncturel important pour suivre d’un mois à un autre ou encore d’un trimestre à un autre, l’évolution des coûts de construction des logements à usage d’habitation dans notre pays à travers l’évolution des prix des matériaux de construction, des coûts de la main d’œuvre et des coûts de location de matériels.

Mesdames et Messieurs,

Enfin, au nom des plus hautes autorités du pays et au nom du Directeur Général de l’INSEED, je voudrais tout particulièrement adresser mes vifs remerciements à nos partenaires privilégiés, à savoir la Banque Mondiale, qui assure le financement du Projet de Développement de la Statistique au Tchad (PDST) et AFRISTAT qui nous accompagne sur le plan technique.

C’est sur cette note d’espoir, que je déclare ouvert l’atelier de publication de l’indice de coût de construction au Tchad.

Je vous remercie pour votre bienveillante attention.

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L’Institut national de la Statistique, des Etudes Economiques et Démographiques (INSEED) est un organe central du Système Statistique National Tchadien. Pour mieux connaitre ses missions, sa stratégie et ses projets, la Cellule de Communication, des Relations Publiques et du Markéting de l’INSEED est allé à la rencontre de son DG.

Dr Baradine Zakaria MOURSAL, vous êtes Statisticien, ancien cadre de INSEED, ancien Directeur de la statistique et ancien Directeur de la Planification du Ministère de l'Enseignement Supérieur et ancien Directeur des Affaires Administrative, Financières et des Ressources Humaines de l’Université de N’Djamena. Actuellement, vous êtes le Directeur Général l’INSEED, suite à l’aboutissement de la réforme de l’appareil statistique national qui a commencé depuis 2014. La première phase de mise en œuvre de la réforme est intervenue juste au lendemain de la promulgation le 12 juillet 2019 par la Loi N°026/PR/2019 portant organisation et réglementation des activités statistiques au Tchad et ses Décrets d’application. Notons, toutefois, que la première réforme de l’appareil statistique national du Tchad n’a pas donné des résultats escomptés à cause d’une faible mobilisation des ressources financières et humaines.

QUESTION1 : Est-ce que vous pouvez nous présenter l’INSEED, votre institution ?

L’INSEED est un organe central de statistique que j’ai l’honneur de diriger, crée en 1963, a subi d’importantes mutations institutionnelles et devenu un institut autonome dénommé INSEED depuis 1999 suivant la Loi N° 13/PR 1999 du 15 juin 1999, depuis lors l’INSEED est l’organisme central du système statistique national (CNS).

QUESTION2 : Comment est organisée l’institution ?

L’INSEED est régi par décret N°0969/PR/MEPD/2019 du 12 juillet 2019 en application de la loi statistique N°026/PR/2019 portant organisation et réglementation des activités statistiques au Tchad. Il est placé sous la tutelle du Ministère en charge du Plan et administré par un Conseil d’Administration.

En plus des instances supérieures et de son ancrage, l’INSEED est dirigé par un DG et un adjoint assisté de 3 conseillers de 4 directions techniques, des 2 Cellules spécialisées et antennes provinciales, 9 chefs des divisions et 25 services.

QUESTION3 : Quelles sont ses missions ?

L’INSEED a la triple mission d’assurer la coordination technique du système statistique dans son ensemble, de réaliser les principales activités de production statistique répondant aux besoins prioritaires des utilisateurs, et d’assurer un suivi de la coopération technique internationale en matière de la statistique.

QUESTION4 : Quelles sont les partenaires clés dans la réalisation de ces missions ?

En tant que principal producteur de la statistique et de coordonnateur technique du système statistique national, l’INSEED a trois catégories de partenaires clés :

  • Les fournisseurs de données primaires que sont les ménages, les entreprises, les administrations et les autres pourvoyeurs de données ;
  • L’ensemble des composantes institutionnelles du système statistique : CNS, FNDS, ENSIA (en projet) et l’ensemble des structures productrices de statistiques sectorielles ;
  • L’Etat Tchadien les Partenaires Techniques et Financiers et en particulier sur les dix dernières années : AFRITAC-Centre (FMI), AFRISTAT, Banque Mondiale (PDST), Banque Africaine de Développement, UNICEF, Union Européenne (ACET2) etc…

QUESTION5 : Quel rôle joue l’INSEED dans la production de données statistiques nationales ?

 

Dans le domaine de la production statistique, l’INSEED exécute et coordonne les recensements de populations et les grandes enquêtes nationales et l’institut a aussi la responsabilité de la production des principales statistiques économiques, sociales et démographiques, telles que les comptes nationaux, le commerce extérieur, les statistiques sociodémographiques.

En matière de coordination technique, l’INSEED impulse et vulgarise les méthodes et les outils statistiques dans l’objectif de qualité, de cohérence et d’unicité du système statistique national. Il s’agit notamment, des concepts et méthodologies, des nomenclatures, classifications et de la base de données cartographiques à usage statistique.

QUESTION6 : Quelles sont les grandes réalisations de l’INSEED dans le système statistique national ?

L’INSEED, étant un organisme central de statistique est à la charge de la réforme de l’appareil statistique voulue par les Plus Hautes Autorités depuis décembre 2014 et qui a abouti à des importants résultats intermédiaires : la promulgation juin 2019 d’une nouvelle loi statistique conforme à la Charte Africaine de Statistique ratifiée par le Tchad en mars 2015, la création du FNDS et  à finaliser l’étude de faisabilité de l’ENSIA, l’élaboration et la mise en œuvre du Plan Stratégique de l’INSEED 2019-2023 en cohérence avec la SNDS 2022-2026 dans le circuit de l’approbation officielle par le Gouvernement, la mise aux normes des comptes nationaux, et la préparation ou la réalisation des grandes opérations statistiques nationales : RGPH 3, ECOSIT 4 et 5, MICS 6.

QUESTION7 : Quels sont vos perspectifs d’avenir ?

Bien que le contexte soit marqué par de fortes contraintes en ressources et conformément à son mandat, l’INSEED se doit de poursuivre la mise en œuvre de son Plan Stratégique 2019-2023 dans le cadre de la réforme de l’appareil statistique national. Des évaluations seront faites en 2022 et 2023 afin de mieux calibrer le prochain plan stratégique et d’assurer un financement durable. 

 

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Le Directeur Général de l’INSEED, Dr. BARADINE ZAKARIA MOURSAL, a reçu vendredi matin, 20 Août 2021 à 10 heures dans son bureau, le Représentant et Directeur Pays Tchad du Programme Alimentaire Mondial (PAM), M. Claude JIBIDAR.

Cette rencontre a porté sur les grandes lignes d’un cadre de collaboration et de partenariat entre le PAM et l’INSEED, pour soutenir le processus d’amélioration des capacités de collecte, de traitement, d'analyse et de diffusion des données socioéconomiques portant plus particulièrement sur les ménages pauvres.

Le Représentant et Directeur Pays Tchad du Programme Alimentaire Mondial (PAM) a souligné que son institution est entrain de réviser son plan stratégique 2022, en envisageant un appui au renforcement des capacités statistiques visant à mieux éclairer le processus de formulation et de mise en œuvre de ses programmes et projets. M. Claude JIBIDAR a également souligné l’importance de la mise en place du Registre Social Unifié (RSU) qui constitue un maillon important pour le programme alimentaire mondial. Et il a saisi l’occasion de cette rencontre pour féliciter la Banque Mondiale à travers le Projet d’Appui aux Réfugiés et Communautés d’Accueil (PARCA) pour le financement de de la mise en place du Registre Social Unifié (RSU) avec des données statistiques fiables et à jours.

Le Directeur Général de l’INSEED a marqué sa disponibilité pour travailler la main dans la main avec le Programme Alimentaire Mondial (PAM). Et il a précisé que l’INSEED continuera à répondre aux besoins d’informations statistiques prioritaires visant à consolider les programmes et projets du PAM au profit du Tchad.

Les deux responsables ont tracé les grandes lignes du plan d’action à définir autour notamment, du ciblage des pauvres, l’état des lieux des projets existants et le renforcement des capacités statistiques.

La rencontre a pris fin à 12 heures 05 mn par les orientations données aux collaborateurs des deux institutions portant sur la définition d’un accord de partenariat entre le PAM et l’INSEED.

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